[Accepté][Candidature] Haribobic

-Bonjour à tous je suis Haribobic in Game.


-Irl je m'appelle Fabien,j'ai 13 ans,bientôt 14.
Je vis en Bretagne,mes passions sont la course à pied,le Vélo de Course.
A oui aussi x) J'adore le Pamplemousse.


-J'ai fais des Dizaines de serveur,j'ai toujours aimé être Boulanger,Maître de Restaurant,Commerçant quoi x).


Voici un screen Shot d'un projet de QG qu'on m'avait chargé de faire :







-Mon projet est de créer un restaurant qui pourrait acceuilir tout le monde pour
goûter à ma Cuisine .


Si je devais faire un clan,se serait pour regrouper des cuisiniers qui travailleront sur les fourneaux.


Voici un texte que je dus rédigé en Français,je devais l'imprimé c'est pour ça que je l'ai avec moi le voici:


Le Château Légendaire


C'était un jour d'octobre 1910 ,Vlad Balanis ,c'est ainsi que je me nomme .J'avais alors vingt-cinq ans et je vivais seul dans un appartement délabré rue Audéju Iela .
L'histoire que je vais vous raconter est mon histoire .Je me trouvais au Nord-Est de Riga,la capitale de la Lettonie .Je venais de finir mes études de journalisme et depuis plusieurs semaines je remarquais que le temps devenait de plus en plus mauvais .Les tempêtes affluaient les unes après les autres ce qui pouvait gâcher notre grande fête traditionnelle,où nous chantions la Daina sur l'imposante place de Dôme .C'était une saison automnale et les enfants jouaient dans les feuilles teintées d'orange, ce qui ajouté une bonne ambiance à celle de la ville, avant la froideur de l'hiver.


Je me rendais sur la place pour voir les premiers préparatifs de la fête, je n'y voyais rien, il commençait à faire nuit,et les lampadaires ne s'allumaient pas, rendant la visibilité plus difficile. En rentant chez moi, je vis un chapelier extravagant au coin de la rue Audéju Iiela. Il lisait son journal tranquillement et portait une coiffe en forme de cylindre noir. Il leva les yeux pour me regarder et fit un signe de la tête pour me saluer. Une fois chez moi, j'allumai la lampe à huile et je me mis à lire quand soudainement la tranquillité de la ville m'intrigua. Je regardais à travers les fenêtres, le chapelier avait disparu ainsi que sa chaise et les bruits des fers à cheval s'étaient aussi atténués. Au bout d'une dizaine de minutes je décidai de sortir. La brume commençait à recouvrir la ville suivi un brouillard opaque , le vent soufflait dans les arbres. On ne pouvait voir plus loin que son nez. Arrivé dans une ruelle voisine, je vis deux hommes saouls qui voulurent engager une conversation en me demandant quelque pièces. Je les repoussaient avec agacement et j'entendis un grognement suivi de
« sacrebleu ! ». Je rentrai dans mon logis et je dormis. A six heures un homme frappa à ma porte, je m'habillai et j'ouvris fort intrigué. C 'était le voisin, il était il était bouleversé et exténué. Je lui demandai de se calmer et l'invitai à prendre le thé. Il s'appellait Jean, un grand boulanger au chômage depuis plusieurs mois. Il n'était pas marié et je ne connaissais pas ses origines. Il m' expliqua que les rues étaient désertes et que les aboiements monstrueux « des sales clébards du quartier » ne se faisaient plus entendre ! Nous ressentîmes tous deux une grande crainte...


Nous avions eu vent de quelque rumeur à propos du château de Wartage, nous voulûmes partir à sa découverte. Un château né d'une légende qui soit disant par un couple de paysans Lettons possédant une terre cultivable non loin de celui-ci fût aperçu. D'après leurs dires, il apparaîtrait à chaque nouvelle lune. Selon le calendrier lunaire,la prochaine nouvelle lune serait visible d'ici une semaine. Nous voulûmes donc nous y rendre. Nous commençâmes par faire des ressources en pillant des épiceries les plus proches puis nous marchâmes en direction d'un fiacre. A ce moment là nous entendîmes tous deux un craquement assourdissant qui nous donna froid dans le dos à tel point que nous crûmes entendre des déchirements que je ne pus décrire. Nous montâmes à bord et nous traversâmes la rue Audéju Iela, je crus apercevoir une ombre à la fenêtre par laquelle je contemplais habituellement la ville. Mais que pouvait-il se passer, j'étais frigorifié.
Deux jours plus tard notre voyage arriva à son terme nous nous arrêtâmes devant un lac d'une taille gigantesque, derrière devait apparaître le château nous implantâmes donc notre tente sur l'herbe verdâtre. Pendant la nuit, le vent provoquait des grosses secousses qui faillit retourner la tente. Les craquement et autres bruits nous perturbèrent jusqu'au matin. A l'aube je me trouvais seul, j'ouvris la tente et je remarquais que le temps n'avait pas changé, le ciel était toujours aussi gris et couvert par une épaisse couche de nuages. Je sortis et je me trouvais à présent seul, aucune trace de Jean... Je doutais de ma raison pendant un instant mais ce que je venais de vivre me paraissait terrifiant. Je m'imaginais la silhouette du château, pourtant il n'était toujours pas apparu ! Pendant cet instant de réflexion je sentis qu'un voile me frôlait. Etais-ce le vent ? Je tremblais et le moindre bruit me faisait sursauter, j'étais désespéré...


Cinq jours plus tard, la pleine une haute dans le ciel,éclairait d'un faisceau le lac. Je me mis en route vers la colline de Wartage arrivé en haut je m'assoupis, cette côte m'avait harassée et me fit sombrer dans un léger sommeil. A mon réveil je ne distinguais toujours pas une seule muraille,pont levis ou encore un donjon qui sait,rien !
Je restais bouche-bée, je fouillais de fond en comble parfois accroupi et même à quatre patte à la recherche d'une simple trace,la moindre anomalie qu'un homme auparavant aurait pu laisser après son passage. Enfin derrière une bosse de terre, je distinguais un morceau de métal,je me mis à tirer dessus est j'en sortis la visière d'un Haume ! Peut-être était-ce un très ancien vestige ? J'étais tellement perdu que le coma venait de m' emmenait avec lui ...


Je m'engage à respecter les règles du Forum,serveur.


Cordialement Haribobic alliace Pamplemousse.